MA PLUME,UNE PASSION...

  ADAGE DE L'AFRICA... Hommage à cet homme Qui Faisait preuve d’habil e t é Et d’honn ê t e t é . Lui, qui, a toujours combattu l’apartheid                                   Jusqu’à en payer 27 ans d’incarcération Durant lesquelles il n’a re ç u aucune compensation Mais il a gard é bon Cœur                                                                            Sans ê tre poussé par une rancœur Parce qu’il voulait juste sauver les Inuits Qui é taient dans une mauvaise servitude. Il était dot é d’un esprit socialisateur Jusqu’à devenir  m é diateur de Certains pays de l’Africa qui ét aient marqu é s par Des abus du pouvoir. Il a us é d’un esprit de fermet é Lors de la lutte contre le racisme Il ne savait pas qu’il allait gagner cette bataille Puisqu’il n’ é tait pas de taille Tout en se trouvant dans cet endroit isol é . Et pour calmer sa toile on l’a emprisonn é . Dieu merci quelques temps plus tard On lui avait fait sort

JE SUIS UN MIGRANT                                             Au Bord d’un bateau d’un passeur, Je pars sans avoir de destination, Vers ce continent qui fera ma Ration.  Difficile, je ne sais pas si je vais y arriver.               Assis en masse à l’intérieur de ce navire,        avec les Individus de toutes les races,        on se regarde personne ne dit rien,        Pas facile de communiquer avec mes frères et sœurs de l’autre bout du monde. J’ai mon cœur qui bat, J’ai mon corps qui tremble, Le froid intense au bord de ce navire me déconnecte de tout rire. Il se crée du désordre dans ma tête, Un brassage d’idées fait rage :                          Je pense et repense à cette nouvelle vie             A ce continent que j’ai tant envié             Je pense et repense à ma famille             laissée sans aucun secours,             Sans aucune assistance,              Sans aucun témoignage d’affection. Mais le seul problème que j

MA LETTRE DE COMPASSION                                                   Mes strophes comportent les douleurs de certaines gens Ma plume veut dénoncer cette aliénation par argent apitoyée par ce qu’est devenu ce monde Lorsque j’y pense à vrai dire je panique Tir, tir, bombe ici et là famine, maladies un peu partout Guerre, terrorisme toujours au rendez vous. Celui que j’ai appelé mon frère, aujourd’hui  m’a tourné le dos il me fait peur. celui avec qui j’ai partagé le même sceau il veut voir disparaître ma peau. c’est la souffrance qui ronge certaines âmes c’est l’odeur du sang qui se fait sentir ce sont les échos des malheurs qui font retentir. Le sang à beaucoup maculé la terre Jusqu'à ce que celle-ci s’apprête à le vomir. Si l’on pouvait aimer le prochain comme soi-même Si l’on pouvait essayer de comprendre les problèmes de l’autre Si l’on pouvait faire sienne la douleur du voisin Et si l’on pouvait se dépenser sans attendre