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Affichage des articles du 2017

APPRENDRE A CEDER...

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Apprendre à céder...         APPRENDRE A CEDER.. . La vie est faite par des hauts et des bas. Chaque individu concourt à son bonheur pour chercher à asseoir son honneur au sein de notre société bond ée de rires et pleurs. Apprendre à céder n’est pas une chose facile, C’est un combat de toute personne docile. C’est une longue bataille héroïque,  une lutte demesur é e aux exploits épiques. Apprendre à céder c’est essayer de rendre la vie harmonieuse, C’est le fait de faire en sorte que toute personne soit heureuse. C’est le fait de chercher à ériger un modèle de son entourage, pour que chaque individu puisse goûter aux merveilles du village. Apprendre à céder c’est symbole d’un esprit courageux, C’est la marque d’une personne à caractère vertueux. C’est prendre en considération l’avis de tout un chacun, Sans pour autant miser sur le bon cheval de son enclos. Apprendre à céder c’est se sacrifier pour l’autre, Apprendre à céder c’est

FAIRE COMME TOUT LE MONDE

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FAIRE COMME TOUT LE MONDE Faire comme tout le monde, est devenu monnaie courante dans notre monde. ce monde qui ne cesse de surprendre sur toutes les ondes, ce monde qui change en dissimulant ces zones d’ombre. Gare à celui qui ne fait pas comme tout le monde, il s’expose à des chicaneries de toute sorte, il s’attire mille insultes sur son compte, il ressemble à cette jeune arriviste victime d’un exode. Faire comme tout le monde, demeure la règle sine qua none dans nos sociétés. Ne pas porter ces articles surnommés « arrivages », T’exclu d’office de ce camp  à la mode. Vous avez certainement entendu des critiques ici et l à  : Qui est celui-là ! De quel siècle il nous vient ? Des blablas sans fondement visant à saper la réputation de l’autre parce qu’il refuse de faire partie de ce camp à la mode. Sans doute un jour tu as été contraint à faire comme tout le monde, et tu t’es laissé trainer, entraîner comme un moribond dans une

L'ECHEC...

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                            L’ECHEC « Je ne perds jamais soit je gagne soit j’apprends  », ce n’est pas moi qui le dis, mais disait Nelson Mandela. L’échec est inhérent à la vie de l’homme, c’est l’une des fatalités de ce monde, ce monde qui change à chaque seconde, ce monde dissimulé en zones d’ombre. L’échec c’est quand tu trimes jusqu'à ton dernier soupir, et qu’après tu abandonnes, tu acceptes de souffrir. Tu souffres par manque d’endurance, Tu t’engouffres par manque de vaillance. L’échec c’est quand tu tombes et que tu attends qu’on te relève, du coup tu laisses les autres te piétiner et prendre ta relève. Tu assistes impuissant avec ton regard vigilant, tu secoues la tête incessamment avec  un look désolant. L’échec c’est quand tu perds ton temps pour un plaisir latent, et que tu laisses filer l’étoile servant la toile de tes talents, tu pensais te régaler comme dans une soirée de gala, mais en réalité tu t’es enivré d’his

JE SLAME

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JE SLAME JE SLAME Je slame pour que ces âmes piteuses soient amnistiées de leur drame vacarme, Ces âmes qu’on enfonce implicitement dans le gouffre sans qu’on puisse les ranimer par nos souffles, Ces âmes qui pleurnichent tendrement aux visages tabassés, Ces âmes qu’on a déjà zigouillées par nos regards entrecroisés, Abo tubona mugabo tukigira nkabatababona reka kwigira simbona. Des larmes qui coulent silencieusement comme un lac qui dort. Je slame pour essuyer cette vague de larmes qui coule dans le fin fond de leur âme. Je slame pour que toi qui m’écoutes, tu puisses prendre plaisir en écoutant les vers de ma plume ; Une plume à encre indélébile, Une plume à verve intarissable, C’est pourquoi je te demande d’être stable pour ne pas être emporté par cet arsenal de joutes inéluctable. Tekana wumvirize amajambo atari amadebedebe, Mais une fontaine poétique à caractère épique, C’est l’épopée de mes ancêtres qui inonde  profondément l’encre de ma plume

TE AMO...(JE T'AIME)

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                                TE AMO…                              Ta voix douce telle que le chant matinal de volailles,          résonne  à merveille à travers mes oreilles.  Quand  je t’embrasse tu me donnes envie de me coller à toi, dans ta vie et à jamais. Ton amour est semblable à un jardin de fleurs qu’on arrose à volonté. J’aimerais me perdre dans la lueur de tes sentiments, dans l’impasse ton amour, un amour qui transgresse mon cœur pour en faire une allégresse. Un endroit couronné de fleurs, Dans tes bras, assis à même le sol en train de se dévisager. Toi et moi dans un coin et recoin en train de parloter de  tout et de rien. En train de dépeindre cette flamme d’amour qui brûle dans le fin fond de nos cœurs. Je t’aime d’un amour si riche en glamour, d’un amour aussi géant que le baobab, d’un amour sans équivoque. C’est le soleil de ton amour, qui brille dans mon cœur, c’est le charme de ton âme si généreuse, Qu

Et la Femme rurale alors...!!!

Et la femme rurale alors…!!! Chaque année, le monde entier célèbre la journée internationale des droits de la femme. C’est une cérémonie riche en couleurs où des femmes intellectuelles œuvrant dans différentes institutions privées et publiques sapent en pagnes pour souligner l’importance de ce fameux 8 Mars. Au Burundi, cette fête galante a vu la participation de pas mal de femmes à travers des marches-manifestations organisées pour agrémenter ladite fête. Comme le stipule-t-on, cette journée constitue un gage inédit de toutes ces femmes qui ont menées une lutte acharnée pour que les droits de la femme soient reconnus à travers les quatre points cardinaux. Comme l’expression « tout est bien qui finit bien » la renchérit, la lumière a giclé à travers les ténèbres affuteurs en faveur de ces droits tant envoutés ; elles ont fini par remporter cette escarmouche. Cette victoire à la Pyrrhus est le fruit de la reconnaissance des droits de la femme. La ville de Bujumbura était bondée de

CONTRE VENTS ET MARRÉES...J'AI VÉCU!

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CONTRE VENTS ET MARRÉES...J'AI VÉCU! Lui, qui a voulu m’enfoncer Comme un clou dans cette planche maléfique. Il m’a envoyé toute sorte de puissances occultes Pour engloutir mon succès magnifique. Il a encaissé pas mal de nuits blanches En rôdant tout autour de ma demeure Comme un chien apprivoisé patrouilleur Chargé d’une ronde de surveillance belliqueuse. Je le croisais souvent dans mon village, Il me lançait un regard aberrant, Comme celui d’un lionceau à une gazelle. Innocente, je baissais et rabaissais la tête  face à son attitude rebelle. Alors je me demandais… Pourquoi cette amertume  à mon égard ? Pourquoi m’envenime-t-il d’un si tel regard ? Je me demande… ! A travers ces jeux nocturnes, Il s’acquittait à me souffler toute sorte d’esprits mauvais, Il passait tout son temps à me tendre mille et une pièges visant à  engrainer  mon dessein grâce à son sortilège. Combien de fois a-t-il essayé de me harceler ? Combie